l'oublie 23,11,19
l’oublie
Si tu oublie et qu’après tu revient chercher
ne demande pas au blé s’il a du chagrin
passe tes doigts doucement entre ses brins
tu sentira s’il se souvient, tu sera éprouver
Voit l’orges qui danse dans la prairie
regarde les vagues qui séduise le vent
suit le regard qui s’installe dans le temps
comprend comment il sont fleurie
Traverse la forêt et cherche le frêne
quand tu le trouve sollicite sont avenu
il te parlera de sa chaire, une table est devenu
de ses branche qui sont chaleur et feu pyrène
Contemple sa droiture assis toi a sa table
voit et admire son élégance hume sa force
met tes mains sur sa chaire, voit sont écorce
partager le repas sur ses planche, sera inéluctable
Marche sur la petite colline et demande au hêtre
vois ses plaies touche son écorce réquisitionne sont concours
parle lui du repos de sont destin, de l’amour
sur ses madriers devenu, couche toi et repose ton être
allonge ton corps sur ses branches
laisse toi bercé sur ses lits musicaux
étant ton corps entre ses coin cardinaux
demande s"il se souvient de l’amour des ses anches
Si tu n’a pas mémoire de la chaleur des touché
si tu n’a pas souvenir de rencontre, de réjouissance
si tu ne te rappelle pas de la douceur de la présence
si tu oublie la douceur des baisés
Si tu cherche pour l’érable qui porte ta peau
ne regarde pas pour les branches ni les feuilles
tu ne pourra pas lire les mots il seront endeuille
voit tout ces pleur dans l’eau
Ne cherche plus car depuis longtemps il n’est plus
ni dans le vent, ni dans le blé , ni dans le bois
Il ne reste que ténèbres, feuille morte et froid
l’érable ne pourra rien te dire, il aura depuis longtemps disparu
Mais si tu n’a pas oublier et tu veux renaître
demande au blé qu’il te montre sa joie
passe tes mains entre ses brains, une autre fois
voit le plaisir qu’il à te connaitre
arrête toi dans l’orge et regarde la danses
écoute les larmes de joie qui coule sur les tige
prend des gerbe dans tes mains connais sont prestige
sent le plaisir qui s’exprime dans sa chance
Trouve la petites source, au frêne elle te guidera
parle lui de sont destin, parle lui de table
de nourriture, d’amitié des grand repas véritable
parle lui du feu, de chaleur, et de sont bonheur il te parlera
Remontre vers le haut sur les petite colline blanche
touche le hêtre de ta main sent comme il est costaux
il te montrera, ses majestueux poteaux
il t’invitera a coucher ton corps sur ses planches
Marche dans la petite route ou le moulin verdoie
cherche l’érable qui porte ta chair
comprend ses feuilles laisse le moment faire
prend le temps de lire ses feuilles, et ses larme de joie
Ta mémoire sera fraiche des toucher opalin
tu te rappellera des feu d’émotions
des caresse tu n’aura jamais oublié, la dévotion
ton corps sera marqués, des câlins
Tu n’aura plus a chercher, simplement à fermé tes yeux
le vent soufflera, ton visage enamourera
l’érable des ses branche, ton corps entourera
tu te sentira parti du pays, la bas en haut jusqu’à dans les cieux.
J-E