Le 04 Juillet 2020
Mes main dans le noir descendue la bas jusqu’au bas de tes jambes, arpente les douceurs des tes cuisse montant jusqu’au ravin de ton dos, appréciant la fraicheur de ta peau, sillonnant et tergiversant d’un coté a l’autre, appréciant la douceur du moment, pour finalement atteindre les foret de ta tête. La je prenais mon temps pour en découvrir tout les rondeur et d’en sentir toute la complexité du temps. Je voulais prendre le temps le ralentir au maximum pour saisir toute les beauté du sentiment qui animais mon être. Je voulais les minutes devenu heures, les jour devenus mois, dans une réalité d’éternité ou j’avais a moi, dans mon intérieur une virtualité de moment que s’imprégnais la bas loin tout au fond de la mémoire de mon être, ces instant ou le bonheur envahissait tout mon corps pour le faire simple et amour. Je pouvais sentir le bonheur qui envahissais ton corps qui appréciais les touchers, les douceurs du désir ou le corps se métamorphose, exposant toute son désire d’unicité face a l’autre, ou tout devient pour l’autre, tout les gestes sont fait simplement de tendresse, ou le goût de plaire passe la bas loin en première.
L’air d’été qui anime le vent de sa fraicheur de nuit qui coulais sur nos corps, remplis de magie dans l’absence de lumière, ou les milles touchés d’un instant dure une éternité au fond des mémoires, se transposant dans nos être pendant des décennies . Dans ces moments ou l’on voudrait arrêté le temps, sentir le sifflement du vent sur la peau de l’autre, effleurant avec la plus grade sensibilité de l’air qui anime le sang qui bouillonne tranquillement dans les veines.
Ton corps sur le mien, je peux le sentir, alors que tu m’entour de toutes tes forces, me donnant tout ton bonheur ou dans ce moment ou la rencontre se partage dans une nuit chaude d’été.
Porte ouverte ou l’air frais de la nuit envahit tout les sens des corps, ma bouche s’approchant de la tienne frôlant avec douceur et sensualité tes joues pour finalement atteindre tes lèvres, j’y déposait un baisé long comme la nuit ou le temps fait place au milliers de moment inoubliable. Mon corps sur le tien maîtrisant l’instant, pénétrant de tout ma douceur dans ton corps , unissant a jamais notre destin dans une nuit d’été ou tout devenais partage et seul l’autre comptes dans la simplicité de la nuit , ou l’imaginaire devient les yeux dans l’absence de lumière, se faisant brillante au sentiment de touché des mains et des corps qui eux, brille dans la sueur du moment. Tout devient partage, tout est fait pour l’autre , ou il n’y a de mesure que dans la totalité du don, ou la grandeur du moment ou tout est a donné et rien n’est retenu.
Dans ses soir d’été même lorsque se seront écoulé des millénaires, comme les poèmes d’Ovide il ne restera plus que poussière de se moment inoubliable, mais dans de cette soirée ou la chaleur du moment ou la nuit tombe faisant place a l’absence d’éclairage, ou le touché de nuit ,d’autre s’aurons et se rendrons comptes et apprécierons eux aussi toute les même douceur du moment sellant à jamais pour les générations futur toute la grandeur d’une nuit estival.
Il est des personne que l’on veux voir dans la lumière du soir pour en apprécier la beauté. Si sont corps avais envahis ma mémoire a première vue il ne pouvais décevoir de le voir dans le noir nue sans retenu ou le partage devient réalité.
Sans avoir connue cette nuit ou je partageais avec elle les plus beau moment de vie, il me semblais que le reste de la vie, lui n’aurais été qu’une réalité a peine lugubre au corps. Mais quand on a connue de tel plaisir et que la mémoire en retient l’essentiel elle nous porte loin dans des futur plus aride ou l’amour peu semblé un simple reflet illusoire.
Se soir de Juillet ou un siècle auparavant mon ancêtre avais mon age a l’époque c’était assis a une table pour y réfléchir quelque moment, une tasse de thé en main je voulu pendant quelque instant revoir ce moment d’histoire, alors je pris une tasse de thé, m’assoit a la table de cuisine comme l’avait fait longtemps passer mon ancêtre.
Dans cette réflection je voyais les difficulté du temps comme toute la chance qui m’avait été donné d’être né a notre époque ou les commodité m’avait facilité la vie ou j’avais la chance d’aimé de connaitre l’amour, la douceur d’un touché, de sentir l’autre comme ce jour de début Juin 1981. Si ces jour était loin il restait un jour far dans ma vie et il éclairais avec tout la lumière du soleil qui reflétais sur ses cheveux clair. Ce jour m’avais porté dans la plus part des partie sombre de la vie, ou l’on crois que est impossible qu’un soleil nous éclaire encore ou que l’odeur des lilas ne reviendra jamais.
Alors que les lilas sont deja passer et que se sera plus d’un ans avant leur retour, il reste encré dans ma mémoire loin au fond pour en infiltré les couloir et les contour afin d’illuminé les jour sombre d’hiver.
Avec l’avancé de la vie ou l’éternelle jeunes n’est plus et que la peau n’a plus sont lustre des 25 ans il reste la mémoire qui elle sera toujours ancré dans une jeunesse éternel comme la poésie d’Ovide qui même après plus de 2000 ans reste toujours a 25 ans.
I share with you some of my private moment and hope they will be well interpreted in a positive way. As they are not intended to hurt but to touch the brain and create palpitation of the heart .
Good night to my friend far away.
In friendship
J-E