Aube la laboureur
Les 4 saison
Aube la laboureur
Dans un après midi tu ouvre la terre
tout simplement sans te préoccupé du temps
sur ton majestueux cheval de fer
tu laboure tout les champs
Ton regard est partout en avant, en arrière
tu veux voir loin en avant tout au fond,
tu retourne la terre comme les pierres
rien ne résiste à la charrue et ses poinçons
En arrière tu regarde, tu ferme tes yeux, tu voie hier
sur les front les sueur, sur les bras les douleurs
les millions de coup de hache, tu les voit dans l’air
sur les coeur l’espoir, d’un monde meilleur
De tes arrière tu entend , le cri de l’enfantement
le soin des jeunes, des anciens, des animaux
le travaille de grange l’eau a transporté, l’épuisement
finalement, le printemps, la joie, l’odeur des lilas, le gout de l’eau
Une grande table entouré d’enfants
un mois d’août, de bonne récolte
le soir dehors assis sur un ban
amour a la main, Moment de bonheur la tête virevoltant
Quand tu voie l’immensité de accomplissement
pour faire surgir de la forêt ses plaines
avec de simple ressource chétif physiquement
tu trouve admirable la condition humaine
De ton siège tu comprend le passer
il est miroir et reflet de demain
ver l’avant tu tourne ton regard tracasser
les yeux fermé tu peux voir tout tracer le chemin
Le ble tu sèmera
La farine tu moudra
l’odeur du pain t’envahi
La faim tu assouvie
J-E
Aube the plow women
In an afternoon you open the earth
simply without worrying about time
on your majestic iron horse
you plow all the fields
Your gaze is everywhere forward, backward
you want to see far ahead all the way to the end ,
you turn the earth, the stone like nothing
nothing resists the plow and its shear
In the past you see, you close your eyes, you see yesterday
on the foreheads the sweat, on the arms the pains
the millions of ax blows, you see them in the air
the hope for a better world
From the past you hear the cry of childbirth
caring for young people, old people, animals
the barn work the water carried, exhaustion
finally, spring, joy, the smell of lilacs, the taste of water
A large table surrounded by children
a month of August, good harvest
in the evening outside sitting on a bench
love in hand, Moment of happiness, head twirling
When you see the immensity of the accomplishment
to make these plains emerge from the forest
with simple resources physically puny
you find the human condition admirable
From your seat you understand the pass
as it is a mirror and reflection of tomorrow
towards the front you turn your gaze bothering
eyes closed you can see everything tracing the path
The wheat you will sow
The flour you will grind
the smell of bread all over you
The hunger you satisfy